samedi 30 mars 2013

Les différents indicateurs

Les différents indicateurs - Intellego.fr
Les différents indicateurs

                I.    Notions d'indicateurs

Définition : instrument statistique qui permet d'observer, mesurer un phénomène.
Il existe plsr type d'indicateur : économique, sociaux, démographique, santé. Ces indicateurs peuvent prendre plsr forme ; valeur relative (%) , valeur absolue (effectif)

Rq : Chaque fois que l'on parle de taux c'est toujours un rapport.

             II.     Les indicateurs sanitaires

       2.1 Indicateur de morbidité

Dans les indicateurs de santé on trouve l'indicateur de morbidité et de mortalité dans lequel on rajoute l'espérance de vie.

La morbidité est le nbr de malades ou le nbr de cas de personnes touchées par une pathologie dans une population à un moment donné.

Pour mesurer la morbidité on utilise 2 autres indicateurs : l'incidence et la prévalence.

a)   L'incidence : nbr de nouveau cas du à une pathologie dans une population.

Ex : nbr de nouveau cas de cancer en 2006

b)   La prévalence : nbr total de cas (ancien + nouveau) du à une pathologie à un instant T.

Pour la morbidité on peut aussi parler de taux

MORBIDITE = nbr de malade /  Population totale = pour 100 000

       2.2 Indicateur de mortalité

a) Mortalité : nbr de décès ou de personnes décédées pour une période donnée.

Taux brut ou mortalité générale = Nbr de décès / population totale = pour 1000

 b) Mortalité spécifique : âge, sexe, maladie

Tx de mortalité par maladie / cause…
= nbr de personne dcd par une cause / nbr total des décès = %


c)   Mortalité infantile : nbr de décès des enfants de  - 1 ans

Tx = nbr de décès des enfants de – 1 ans / nbr de naissance vivante = pour 1000

Mortalité infanto juvénile : mortalité des – de 5 ans

Tx = nbr de décès des enfants de – 5 ans / nbr de naissances vivantes = pour mille

        2.3 l'espérance de vie :
nbr moyen d'année qu'une génération peut espéré de vivre à la naissance.

Rq : Elle peut s'exprimer à différent âge

        : Les moyens pour répondre à la demande de soin

Nbr de médecin pour 100 000 habitants par les dépenses de santé par rapport au P.I.B.

        2.4 La natalité

Ensemble des naissances sur une population dans un lieu donné.

Tx de natalité = nbr de naissance / population moyenne = pour 1000

        2.5 Taux de fécondité

Nbr d'enfants nés vivant / nbr de femmes en âge de procréer = nbr d'enfants / F

        2.6 L'excédent naturel

Nbr de naissance – nbr de décès

        2.7 Solde migratoire

Nbr de personne entrant sur un territoire – nbr de personne sortant

       2.8 Nuptialité

Taux de nuptialité / population totale


       2.9 Taux de divortialité

Nbr de divorce / nbr de mariage



          III.    Indicateurs économiques, sociaux

3.1 Indicateur sociaux 

On peut parler du nbr de chômeurs

Tx de chômage = nbr de chômeurs / la population active

Population active : population ayant un emploi + chômeurs

-nbr de personnes percevant le R.M.I

-nbr de personnes percevant les minima sociaux : allocation adulte handicapé, parent isolé…

-nbr de personnes pauvres : le seuil de pauvreté France = moitié du salaire médian

3.2 Les indicateurs sociaux de l'OCDE

-indicateur de santé
-indicateur de cohésion sociale : suicide, isolement social
-indicateur d'autonomie → l'emploi / l'inégalité des revenus
-indicateur d'équité →  chômage, pauvreté

           IV.    Intérêt et relativité des indicateurs

       
        4.1 Intérêts des indicateurs


v Indicateurs démographiques

Permet de connaître le nbr d'habitants, leur caractéristique (age, sexe…), les recensements successifs permettent de mesurer l'évolution de population, permettent de répartir les budgets, ils sont utilisés pour des projets, pour l'implantation par exemple de pharmacie.


 v Indicateurs sanitaires

Permet d'informer l'état de santé d'une population d'effectuer des comparaisons (pays, régions du monde, sexe, catégorie professionnel). Il permet d'évaluer les besoins de santé d'une population.

v Relativité des indicateurs

Certains chiffres peuvent être sous estimés en raison du domaine qu'ils abordent

Santé et vulnérabilité des populations défavorisées en milieu urbain de l'Afrique de l'Ouest. Etudes de cas en Côte d'Ivoire, Mauritanie et au Tchad

Hors-série 3 | décembre 2006 Santé et vulnérabilité des populations défavorisées en milieu urbain de l'Afrique de l'Ouest. Etudes de cas en Côte d'Ivoire, Mauritanie et au Tchad

Résumés

Des transformations dans la politique, l’environnement et l’économie mènent à une urbanisation rapide et davantage de risque et de vulnérabilité pour de nombreux groupes de populations. La recherche sur l’économie des ménages a identifié trois caractéristiques principales de la vulnérabilité urbaine : la marchandisation, les aléas environnementaux et la fragmentation sociale. De nombreux atouts aident les gens à faire face à leur condition vulnérable. En nous appuyant sur cette recherche, nous suggérons une approche innovante combinant la perspective de risque de l’épidémiologie classique avec la perspective vulnérabilité des sciences sociales. Cette approche a été appliquée à une série d’études de cas dans des villes d’Afrique de l’Ouest. Elles fournissent de nouveaux résultats sur l’exposition des gens au risque de santé, leurs capacités et le niveau et le type de potentialité à l’intérieur d’une communauté ou d’un ménage. Nous concluons que le risque et la vulnérabilité fournissent des points focaux pour l’évaluation scientifique et la négociation politique menant à des actions de santé publique appropriées localement et adaptées.

Le Projet en Santé Urbaine à N’Djamena.

Appuyer le secteur de la santé au Tchad

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Contexte

Depuis de nombreuses années la corruption généralisée et l’absence de politique cohérente ont entraîné une détérioration du système de santé et des indicateurs de santé.
Le projet contribuera, avec les autres partenaires, à la mise en œuvre du Plan National de Développement Sanitaire (PNDS), prenant en considération les stratégies recommandées par le Ministère, et appuiera la mise en œuvre des grands financements mondiaux (Fonds Mondial, etc.).

Le projet ciblera trois priorités du Ministère, à savoir le renforcement des ressources humaines, la santé maternelle et néonatale et, la lutte contre le Sida.

Objectifs

Le projet a pour finalité l’amélioration de l’état de santé de la population.

Sous-objectif 1: développer les ressources humaines en santé au travers du renforcement de la formation initiale des paramédicaux et de l’amélioration de la gestion des ressources humaines.
Sous-objectif 2 : augmenter l’accessibilité des femmes enceintes à des soins de qualité dans la région du Logone Occidental.
Sous-objectif 3: augmenter le nombre de patients séropositifs pris en charge dans le pays.

Descriptif

Composante 1 - Développement des ressources humaines
Cette composante s’inscrit dans le Plan d’urgence et le Programme d’action à moyen terme de développement des ressources humaines 2005/2007 du Ministère de la Santé.

Volet 1 - Appui à la formation initiale paramédicale
Afin de favoriser la formation de ressources humaines dans leur région d’origine, le projet appuiera les quatre structures publiques de formation de paramédicaux, les FID et les deux écoles privées (confessionnelles) de Bébalem et Goundi, formant des infirmières et des agents de santé (ATS), dont les diplômes sont reconnus par l’Etat.

Volet 2 – Appui institutionnel à la Direction des Ressources Humaines
Appui à la Division de la Formation, dans sa réflexion sur la formation initiale et continue, Appui à la Division de la Gestion des Ressources Humaines

Composante 2 - Amélioration des soins maternels

Cette composante prendra en considération simultanément (a) l’amélioration de la qualité de l’offre de soins et (b) la promotion de la demande de soins. Elle ciblera les structures de santé des trois districts de la région du Logone Occidental.

Volet 1 – Appui à l’amélioration de l’offre de soins
La formation continue du personnel des centres de santé (IDE, ATS et ATS accoucheurs).
La réhabilitation et l’équipement des services de santé maternels et néonataux dans la région du Logone Occidental pour améliorer l’accueil, les conditions d’hospitalisation des femmes, et la gestion des complications obstétricales.
Les médicaments et intrants utilisés dans le cadre de la prise en charge globale des grossesses
Affectation de personnel : le Ministère de la Santé Publique devra affecter un TSAR à l’HR Moundou et une sage femme dans chacun des trois hôpitaux de district.
A l’Hôpital Régional de Moundou, le projet financera la construction d’une nouvelle maternité et d’un nouveau bloc opératoire pour la prise en charge des urgences gynéco-obstétricales, ainsi que l’achat d’un échographe et d’un appareil de radiologie fixe.
La prise en charge des fistules s’appuiera sur l’expertise technique nationale existante et bénéficiera d’appuis extérieurs à travers des missions d’experts courts termes (chirurgiens et infirmières). La fourniture en équipements et matériels nécessaires au traitement des fistules sera financée par le projet, ainsi que les missions d’experts.

Volet 2 – Appui communautaire
Un travail étroit sera mené par le GIP ESTHER avec les Comités de santé, de la société civile et des leaders traditionnels, politiques et religieux, afin de sensibiliser les communautés à la nécessité pour les femmes enceintes d’être suivies, d’accoucher dans de bonnes conditions, d’espacer les grossesses et de prévenir les grossesses précoces.

Composante 3 - Appui à la lutte contre le VIH Sida

Le projet financera l’amélioration de la prise en charge des séropositifs au travers du GIP ESTHER, ainsi qu’un appui à la mise en œuvre des financements du Fonds Mondial, via la mise à disposition d’un ETI.

Volet 1 – Amélioration à la prise en charge des séropositifs
Volet 2 - Appui à la mise en œuvre des financements du Fonds Mondial

Impacts

Pour la composante 1, l’appui simultané des FID vers leur autonomisation et des structures centrales du Ministère de la Santé, a pour objectif l’harmonisation et la coordination des formations, afin de mieux pérenniser les actions mises en place par le projet.
Pour la composante 2, la meilleure qualité de l’offre de soins, couplée au volet communautaire, entraînera une augmentation durable de la demande de soins.
Pour la composante 3, l’appui d’ESTHER et l’appui à la mise en œuvre des projets financés par le Fonds Mondial ont pour but un transfert de compétences, concourant à la durabilité des effets du projet.

Date et Montant

Démarrage : 2008
Financement : 10 millions d'euros en subvention

Lien vers site partenaire institutionnel : www.sante-tchad.org
http://www.afd.fr/home/pays/afrique/geo-afr/tchad/projets-tchad/appuyer-le-secteur-de-la-sante-au-tchad

Missions 
• 85100000 - Services de santé Texte original 1. La République du Tchad doit recevoir de l’Agence Française de Développement (AFD) une subvention pour financer un projet dans le secteur santé au Tchad en 2012 et se propose d’utiliser une partie des fonds du Fonds d'études et de renforcement des capacités (FERC) pour financer une étude de faisabilité du Projet de santé urbaine à N'Djaména. Par dérogation, prévue à la convention FERC 4, le Ministère des finances et du budget donne délégation de maitrise d'ouvrage à l'AFD dans le processus de sélection du Bureau d'études. 2. Ce projet fait parti d'un programme « santé et environnement »à N'Djaména qui comprend aussi le Projet eau et assainissement à N'Djaména. Les deux projets auront la Mairie de N'Djaména comme maitre d'ouvrage. 3. Ce projet d’une durée de 5 ans est organisé en trois composantes (i) Renforcement des capacités de la Mairie et accompagnement du processus de décentralisation dans le secteur sanitaire ; (ii) Amélioration de l'offre de soins en santé maternelle et infantile et de l'offre de services de santé de la reproduction ; (iii) Appui à la promotion du bien être familial et de la prévention des pathologies dominantes. 4. Par le présent appel à manifestation d’intérêt, l'AFD se propose d’établir une liste restreinte des Bureaux d’études qui seront appelés à soumissionner pour réaliser l'étude de faisabilité de ce projet. 5. La mission du Bureau d'études sera constituée d'un médecin de santé publique spécialiste en santé de la reproduction et d'un expert en santé-environnement équivalent à 72 hommes-jours. Un appui logistique à N'Djaména pourra être proposé. 6. Les prestations attendues du bureau sont les suivantes : - analyser le contexte du projet et identifier les besoins ; - définir l'objectif général et les objectifs spécifiques du projet, les populations cibles et les composantes du projet ; - identifier les activités à mettre en œuvre pour chacune des composantes ; - élaborer un calendrier détaillé de mise en œuvre du projet ; - élaborer un budget détaillé par composante et par catégories de dépenses, et un calendrier de décaissement ; - définir les modalités de mise en œuvre et de financement du projet ; - réaliser un cadre logique ; - définir le rôle et les tâches de la maîtrise d'ouvrage déléguée, des assistances à maîtrise d'ouvrage et / ou des maîtrises d'œuvre, en fonction des solutions retenues. 6. Le présent appel à manifestation d’intérêt s’adresse à des consultants ayant des compétences dans les domaines de la santé publique, de la santé de la reproduction, de la santé urbaine, en santé-environnement et démontrant des capacités organisationnelles. 7. L’avis d’appel à manifestation d’intérêt comprend une section 1 (Pièces administratives) et une section 2 (Références du Consultant), soit: Section 1: PIECES ADMINISTRATIVES Les bureaux intéressés devront joindre à leur dossier une déclaration de manifestation d’intérêt faisant apparaitre, la raison sociale, l’adresse du Siège social, et les pouvoirs délégués aux signataires. Section 2: REFERENCES DES CONSULTANTS Le bureau devra présenter son chiffre d’affaires, ses expériences dans la région et ses domaines ciblés et indiquer les services rendus pendant les cinq dernières années (soit en tant que seule société, soit comme l’un des principaux partenaires d’une association), qui illustrent le mieux ses qualifications pour la présente mission. Il devra indiquer la désignation de la mission, le pays et le lieu, le personnel spécialisé fourni (profils), le nom et l’adresse du client ou du maître d’ouvrage, le nombre d’employés ayant participé à la mission, la durée (date de démarrage et date de fin) et enfin la valeur financière de la mission, le nom des éventuels consultants associés ou partenaires, le nombre de journées ou de mois de travail de spécialistes fournis par les consultants associés, les noms des responsables des équipes (directeur ou coordonnateur de projet, chef d’équipe), la description du projet, la description des services effectivement rendus par les consultants du bureau. 8. Les candidats intéressés doivent faire parvenir leurs dossiers prouvant leur capacité à soumissionner. Chaque dossier, rédigé en français en trois (3) exemplaires dont l’original et deux (02) copies, devra parvenir au Chef de projet à l’adresse suivante : Monsieur Philippe Walfard Agence Française de Développement 5, rue Roland Barthes 75598 PARIS Cedex 12 Tél : +33 1 53 44 37 80 E-mail : walfardp@afd.fr au plus tard le 2 mars 2012 à 10 h 00 heure locale, soit par courrier recommandé, soit déposé contre récépissé, et devra porter la mention « AVIS D’APPEL A MANIFESTATION D’INTERET n°150-2012 » Pour le recrutement d’un bureau d’étude chargé de l'étude de faisabilité du Projet de Santé Urbaine à N'Djaména » 9. Les pièces administratives et références requises devront, sous peine de rejet, être produites en originaux ou en photocopies légalisées par l’autorité émettrice et datant de moins de trois (3) mois. 10. L'AFD dressera une liste restreinte d'environ 6 candidats, présélectionnés sur la base des candidatures reçues, auxquels elle adressera le dossier d'appel d'offres pour la réalisation des services requis. 11. Le lancement de l’appel d’offres est envisagé pour le 15 mars 2012. 12. Des informations complémentaires peuvent être obtenues auprès du Chef de Projet dont l’adresse est indiquée à l’article 8

 Tchad : L'Agence française de développement octroie 10,4 millions USD pour la santé dans la capitale

N'DJAMENA (Xinhua) - Le ministère tchadien des Finances et du Budget et l'Agence française de développement (AFD) ont signé mercredi une convention de financement d'un montant de 5,2 milliards F CFA (environ 10,4 millions USD) pour la réalisation des projets en santé urbaine dans la capitale, selon un communiqué rendu publique par le chargé de communication de la mairie de N'Djaména, Ahmat Gali.
Jeudi 28 mars 2013 | 09:08 UTC
Le projet, qui sera exécuté par la municipalité de N'Djaména, ambitionne de toucher l'ensemble des déterminants du bien-être en milieu urbain. Il financera la remise à niveau des infrastructures et des équipements des centres de santé, l'organisation d'une campagne d'information et d'éducation à l'hygiène du milieu, et le renforcement des compétences pratiques du personnel médical et paramédical.
Le projet consistera également, selon le texte, à financer la construction d'une station d'épuration des eaux usées pour l'Hôpital général de référence nationale, la plus importante structure sanitaire du Tchad.
"Les différents volets de ce projet qui s'inscrit dans le sens des recommandations du colloque 'N'Djaména, penser la ville capitale de demain', tenu du 5 au 7 février 2013, permettront de faire travailler l'ensemble des acteurs, c'est-à-dire les ministères, les collectivités locales décentralisées, la société civile et les bailleurs de fonds, afin qu'une approche concertée et intégrée du bien-être urbain puisse se concrétiser", conclut le communiqué. 


 Signature d’une convention de financement d’un montant de 5.2 milliard de FCFA pour améliorer la santé des mères et des enfants dans les quartiers périphériques de N’Djaména
Mercredi 27 mars 10h – Ministère des Finances et du Budget
 

 


Ce mercredi  27  mars  2013  à  10h  a  lieu  la  signature  d’une  convention  entre  le  Tchad  et  l’Agence
Française de Développement (AFD), mettant à disposition de l’Etat tchadien une subvention de 5.2 milliards de
FCFA (8 millions d’euros) pour la réalisation d’un projet en santé urbaine à N’Djamena. 
L'accélération  de  l'urbanisation  de  la  capitale N'Djamena  ne  s'est  pas accompagnée  d'une  offre  de  soin
équitable et de qualité pour les populations. Cette subvention financera un projet au profit de la population des
districts sanitaires Sud et Est de la ville. En effet, durant la dernière décennie, la ville de N’Djamena a subi de
profonds  changements  avec  une  augmentation  rapide  de  sa  population  et  la  création  de  nouvelles  zones
d’urbanisation, en premier lieu les zones Sud et Est de la ville (Chagoua, Dembé, Djari, Diguel…). Le projet au
sein de ces quartiers aura l’ambition de toucher l’ensemble des déterminants du bien être en milieu urbain. 

Deux composantes seront dédiées directement à l’amélioration de l’offre de soin dans ces quartiers :
1)  Amélioration  des  soins  de  santé maternelle  et  infantile :  le  projet  financera  (i)  la  remise  à
niveau  des  infrastructures  et  des  équipements  des  centres  de  santé ;  (ii)  l’organisation  d’une
campagne  d’information  –  éducation  –  communication  (IEC)  à  l’hygiène  du  milieu  et  (iii)  le
renforcement des compétences pratiques du personnel médical et paramédical. 

2)  Amélioration des services de santé de la reproduction et particulièrement la disponibilité des
produits  de  planification  familiale :  mise  en  place  de  cliniques  de  planification  familiale  et
promotion  de  la  santé  de  la  reproduction  et  la  mobilisation  sociale,  particulièrement  des
adolescents et jeunes.
 
Une troisième composante sera dédiée au bien être environnemental :
3)  Agir  sur  les  déterminants  environnementaux  de  la  santé  à  travers  l’amélioration  du
traitement  des  eaux  usées.  L’action  consistera  à  financer  la  construction  d’une  station
d’épuration des eaux usées (STEP) pour l’Hôpital général de référence nationale (HGRN).
 
Enfin,  le projet  accompagnera  le processus de décentralisation  en  faisant  en  sorte que  les  compétences
transférées soient rendues effectives :
4)  Renforcement  des  capacités  de  la  Commune  et  accompagnement  du  processus  de
décentralisation dans  le domaine sanitaire. Le projet  (i) appuiera  le Ministère en charge de  la
décentralisation dans la préparation des textes d'application portant sur le transfert de compétences
dans  le domaine de  la santé, de  l'hygiène et de  l'assainissement ; (ii) permettra à  la Commune de
N’Djaména,  et  notamment  à  la  Direction  de  la  voirie  et  de  l’assainissement  (DVA)  et  à  la
Direction  administrative  et  financière  (DAF)  d’assurer  efficacement  leurs  attributions  et  (iii)
soutiendra plus spécifiquement le Service Hygiène et Santé et de la DVA de la Mairie via divers
activités d’équipements et de renforcement de capacités.

Le maître d’ouvrage général sera la Mairie de N’Djamena qui recevra la subvention grâce à un accord
de rétrocession des fonds entre  le Ministère des Finances et du budget, signataire de  la convention pour
l’Etat tchadien, et la Mairie de N’Djamena. 

Ces différents volets du projet permettront de  faire  travailler ensemble de nombreux acteurs  (Ministère,
autorités publiques décentralisées, société civile, bailleurs de fonds…) afin qu’une approche concertée
et intégrée du bien être urbain puisse se concrétiser. 
Ce projet va ainsi dans  le sens des recommandations du colloque « N’Djamena : penser  la ville-capitale
de demain » qui a eu lieu les 5, 6 et 7 février 2013 et dont les Actes viennent d’être édités. 


Pour  plus  d’informations :  Jeanne  Milleliri  (millelirij@afd.fr)  et  Halimata  Ouedraogo  (ouedraogoh@afd.fr),
chargées de projet AFD Tchad et Mathieu Arnaudet, chargé de communication arnaudetm@afd.fr, 60 46 71 77. 
 

lundi 18 mars 2013

IL EST LE MANAGER GENERAL DE L'ENSEA D'ABIDJAN



Le personnel de l’ENSEA dans son ensemble a rendu un hommage à Mr KOFFI N’GUESSAN directeur de ladite école le  mardi 08 novembre 2012.
A l’issue du CONSEIL DES MINISTRES DU MERCREDI 17 OCTOBRE 2012, il a été confirmé Directeur général de l’INPHB DE YAMOUSSOKRO. Cette promotion a constitué le motif  de l’organisation d’une cérémonie d’hommage. Les temps forts ont été introduits par le maitre de cérémonie, Mr FE DOUKOURE, qui après avoir donné la nouvelle a donné le fils conducteur de la rencontre.
-Au nom de l’ensemble du personnel, le Prof BELLO T., a prononcé l’allocution qui sied à une telle circonstance. Celui ci de façon imagée a rendue un hommage à l’homme et à ses œuvres, il a terminé son propos en plaçant sa mission sous la divine protection.
- Des présents furent ensuite offerts pour marquer cet événement.
-Inviter à dire un mot, le nouveau directeur de l’INP HB, s’est dit surpris, cependant il n’a pas manqué  de remercier tous ses collaborateurs à qui il a dédié cette promotion. Au cours de son intervention il est longuement revenu sur son parcours et les différents tournants de sa vie. Il a insisté sur le rôle essentiel joué par Mr AMIGUET, présent  avec son épouse. Il a relaté les obstacles qu’il a fallu vaincre pour faire de l’ENSEA cette réalité connue aujourd’hui. Il a souligné le rôle joué par des pionniers encore presents à l’Ecole. Il a brossé les difficultés à venir pour réussir sa mission. Il a dit tirer sa force de la présence auprès de lui du personnel de l’ENSEA.  Pour terminer il a remercié particulièrement le personnel qui est venu protéger les installations de l’école pendant la crise du mois de mi-mars 2011 au 15 avril 2011. En effets ces sacrifices ont permit de sauvegarder les équipements, malheureusement le 15 avril 2011, tous le véhicules ont été emportés sous la menace des armes. Il a rassuré tout le monde de la disponibilité de nouveaux véhicules d’ici le mois de décembre 2012.
-La cérémonie s’est achevée autour d’un pot.


IT IS THE GENERAL MANAGER OF ABIDJAN ENSEA



ENSEA staff as a whole has paid tribute to Mr Koffi N'Guessan said school director on  Tuesday, November 8, 2012.

At the end of the COUNCIL OF MINISTERS Wednesday, October 17, 2012, it was confirmed Director General INPHB OF Yamoussoukro. This promotion was the reason   for the organization of a ceremony of homage. Highlights were introduced by the master of ceremonies, Mr FE DOUKOURE that after giving the new driver gave the son of the meeting.

-On behalf of the entire staff, Prof. T. Bello, gave a speech befitting such a circumstance. This one was made pictorially a tribute to the man and his works, he ended his talk by placing its mission under the divine protection.
- Presents were then offered to mark the event.
-Invite to say a word, the new Director of the INP HB was surprised, however, he did not fail  to thank all employees to whom he dedicated this promotion. During his speech, he is back on his long career and the various turns of his life. He stressed the important role played by Mr AMIGUET present   with his wife. He recounted the obstacles he had to overcome to make this known ENSEA today. He emphasized the role of pioneers still present at the school. He outlined the challenges ahead for successful mission. He said draw strength from the presence of his staff ENSEA.   Finally he especially thanked the staff who came to protect school facilities during the crisis months of mid-March 2011 to 15 April 2011. Effects in these sacrifices have allowed to save the equipment, unfortunately April 15, 2011, all the vehicles were swept under the threat of arms. He assured everyone the availability of new vehicles by December 2012.
-The ceremony ended around a pot.